Salon De LÉrotisme Une Infirmière En Beauce 09
Salon de lérotisme Une infirmière en Beauce 09
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur chez HDS), racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu ce texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Pour une plus grande compréhension de cette histoire, lire les huit récits précédents parus en 2016.
Sur les conseils de son ami Paul, Hervé a emmené son épouse Valérie au château de Castelneuf, propriété du Baron Cédric d'Avesgaud, patron de la banque privé Saint-Gilles, dont Hervé est le directeur de lagence de Chartres. Valérie est tombée dans le piège tendu par les trois hommes lors dune réception des notables de la région, invités par le Baron.
Hervé a réalisé le rêve quil espérait depuis plus de vingt ans : voir son épouse prise par un autre homme devant lui. Dans le déferlement de folie de cette soirée arrosée de champagne et de danses langoureuses, une fois les invités partis, le baron et Hervé ont dansé avec Valérie. Elle sest laissée trousser par les deux hommes, qui lont tripoté et pris sans vergogne, tous les deux ayant réussi à glisser leur verge en même temps dans son vagin.
Le lendemain, en fin de matinée et malgré sa honte, elle est confiée par son mari à Cédric qui fornique linfirmière mature sans la ménager, la fessant à mains nues, forçant sa bouche avec son vit et lui faisant avaler sa liqueur. Il la confie ensuite à Paul, le colonel en retraite, ami du couple. Celui-ci ne ménage pas non plus Virginie. Elle qui a du mal à accepter que son mari contemple son intimité, elle doit subir un cunnilingus savant du vieux soldat qui la fait hurler de jouissance durant de longues minutes. Puis, à plat ventre sur le lit, elle est prise en levrette et labourée jusquà ce quil éjacule sa semence et la laisse anéantie par les orgasmes successifs quelle a subis.
Elle mettra la journée à sen remettre, dormant tout son saoul et, lorsque au début de la soirée, elle se réveille inquiète et quelle questionne son mari, celui-ci la rassure en lui disant quil laime encore plus. Vers 19 heures, Cédric et Paul sétant absentés, le couple reprend la route de Chartres.
Le soir, une fois dans leur vaste maison de Le Coudray en bordure de lEure, ils retrouvent Pauline leur fille de seize ans qui est rentrée avant eux, dun week-end au bord de la mer. Bien entendu, aucune allusion devant ladolescente aux paillardises auxquelles se sont adonnés les parents. La conversation roule sur la magnificence du château de Castelneuf à Châteauneuf-en-Thymerais et de la réception qui sen est suivie. Puis, il est question des études de Pauline au lycée Silvia Montfort et de ses projets davenir. La jeune fille va passer son bac cette année, cest une très bonne élève et son projet de devenir vétérinaire demande une sérieuse préparation.
Lorsque les époux se retrouvent dans lintimité de leur chambre, Valérie est tout de même inquiète du regard que va désormais porter son époux sur son comportement, sur le plaisir quelle na pu sempêcher dexprimer en se vautrant dans une fange bruyante et indécente.
Hervé est pourtant très tendre avec sa moitié. Il lui dit tout son amour et la remercie davoir comblé ses rêves les plus secrets.
Tu sais chérie, je ne pensais pas que tu puisses être aussi classe et superbe lors de cette soirée où tu as éclipsé toutes les femmes présentes. Tu mas fait un grand honneur devant tous ces notables. Puis, tu nous as comblés tous les trois. Cédric et Paul ten sont très reconnaissants. Tu as été une amante formidable et jespère que tu le resteras.
Valérie, dont le visage a rosi au rappel des turpitudes auxquelles elle sest livrée, sexprime pourtant de sa voix douce.
Mon Amour, jai une grande honte de mêtre conduite ainsi.
Ne crains rien mon amour. Dabord, ce sont des gens très discrets, de par leur rang social et rien ne sébruitera de cette soirée. Ils me lont assuré et lorsque tu les rencontreras en public, je peux tassurer quaucune allusion dérangeante ne te mettra dans lembarras.
Valérie se blottit dans les bras de son mari et le couple sendort sagement jusquau matin. Lorsquelle se réveille, elle contemple son mari qui dort profondément ; son pantalon de pyjama est tendu comme une toile de tente au bout de son mat. Se penchant sur le vêtement léger, elle effleure de ses doigts fins le renflement qui se tend encore plus sous le tissu très léger. Écartant subtilement la bordure de la braguette sans fermeture, elle frôle le membre rigide qui tressaute sous la caresse.
Valérie regarde son homme qui dort toujours, un sourire béat illumine son visage. Prenant délicatement le vit de son époux entre ses doigts, elle le gobe au fond de la bouche et savoureusement, elle entoure de la langue le gland qui laisse perler un peu de liqueur pré séminale. Elle adore sentir le pouvoir quelle a sur cette chose si fragile et leffet de sa langue et de ses lèvres sur le pénis de son homme. Elle le suce longuement, tout en se touchant lentrejambe dune main. Elle songe aux deux queues quelle a dû engloutir la veille, Celle de Cédric et celle du vieux colonel.
À cette pensée, le rouge lui monte au front, la honte de ce quelle a dû faire et subir ; ses sentiments se mélangeant dans une sorte dexultation malsaine. Elle se souvient du foutre gluant quelle a avalé, dabord contre son gré, puis avec de plus en plus de jubilation, mettant ses sens en ébullition.
Hervé émerge bientôt de son sommeil, admirant sa femme qui le pompe avec autant de ferveur.
Valérie, quittant la bite de son époux, vient se blottir dans ses bras, se lovant au creux de son épaule, quêtant ce moment de tendresse dont toutes les femmes sont friandes.
Hervé réfléchit quil a mis plus de vingt ans à voir son rêve se réaliser. Il a bien identifié ses envies, ayant compris en son for intérieur quil a toujours eu envie de la voir avec d'autres hommes. Il se sent mieux d'en avoir conscience et de l'assumer intellectuellement.
Maintenant quelle sest fait prendre par deux hommes, dont un, son propre patron devant lui, il ne souhaite quune chose que les occasions de la voir jouir sous dautres hommes se répètent. Pourtant, il va falloir agir prudemment, que des répétitions trop fréquentes ne soient pas lassantes à la longue et quun dégoût de par et dautre napparaisse. Il ne faut pas que sa femme devienne une femelle à baiser, « une paillasse à foutre » et quelle ne soit plus désirable à ses yeux. Il va falloir trouver des jeux, des occasions diverses avec un intérêt érotique certain, pour quensemble, ils y trouvent à chaque fois un nouveau plaisir.
Justement. Il vient de voir sur un panneau publicitaire quun salon de lérotisme va avoir lieu la semaine suivante à Tours dans lIndre-et-Loire. Chartres nen est quà 200 km par lautoroute en passant par le Mans. Le dimanche suivant, Pauline est en déplacement avec son lycée pour une visite du château de Versailles. Au bout de quelques jours, Hervé propose donc cette sortie à son épouse en lui disant quils avaient droit à un peu de fantaisie. Celle-ci le traite de « vieux cochon », mais se laisse persuader sans protester comme elle laurait certainement fait avant de se laisser circonvenir et doffrir son corps au beau Cédric.
Le dimanche suivant, pour cette occasion, Valérie a revêtu une jupe en daim, Oh ! Pas une minijupe, mais tout de même dix bons centimètres au-dessus du genou et un corsage saumon en voile qui laisse transparaître un soutien-gorge tabac et des Dim up assortis. Pas de quoi se faire sauter dessus à ce salon licencieux, mais cest tout de même sexy.
Valérie appréhende de se retrouver avec des pervers, son mari lui a expliqué que ce n'était pas ces pervers-là qui sont dangereux, ceux-ci sont dehors et se fondent dans la masse. Le couple parcourt longuement les stands de lingerie et vêtements sexy ainsi que les magasins de sextoy et autres accessoires. Au début, elle est tétanisée, surtout lorsquun vendeur veut lui présenter un gode, mais curieusement elle se sent à l'aise assez rapidement. Il est vrai que les gens ne s'occupent pas des autres. À la grande surprise de son époux, elle demande elle-même des explications sur les vibro-masseurs et les godes à une vendeuse allemande, Hervé en assure la traduction comme il le peut. Le couple achète un gode, un basique pas trop gros avec vibration. Elle surprend vraiment son mari, car sil se décidait à insister, ils repartiraient aussi avec un uf vibrant.
Ensemble, ils ont vu plusieurs petits spectacles de strip-tease femmes ou hommes avec parfois des spectateurs qui participent en se portant volontaires, Valérie a eu quand même droit à un spectacle spécial filles sans la présence des hommes, avec des chippendales, elle a été apparemment fascinée par la grosse queue de l'un d'entre eux qui a touché le visage d'une spectatrice ! Elle y a fait allusion plusieurs fois par la suite.
Cela a créé un vrai moment de complicité entre eux. Hervé a montré à Valérie des femmes habillées extrêmement court avec des bottes comme il aimerait. Elle a hésité, mais elle lui a dit quelle ne sait pas si elle pourra. Cest vrai quelle est complexée par son âge, pourtant ses yeux sont pleins denvies. Il y avait aussi des filles, jeunes en porte-jarretelles et string devant certains stands, splendides et Valérie a bien vu que son mari lorgnait sur elles.
Le soir pendant le repas, elle dit à leur fille qu'elle est contente que son père l'ait sorti avec un petit sourire complice plein de sous-entendus. Plus tard, dans le lit conjugal, elle dit à Hervé que le sextoy c'est pour jouer tous les deux, qu'elle n'a pas l'intention de s'en servir toute seule, comme pour le rassurer. Dun seul coup, Valérie lors de cette journée dans ce milieu très « particulier » sest retrouvée plus ou moins désinhibée. Elle se confie à son mari, lui disant quelle a remarqué particulièrement la fille avec la laisse, qui traînait un homme presque nu derrière elle ; puis, une autre avec une robe indescriptible, où elle était quasi à poil, elle a aussi vu un couple, la femme ultra court avec lisière Dim up apparente qui prenait manifestement plaisir à se montrer ainsi.
Puis, apparemment choquée, mais aussi dans une sorte de fascination, elle décrit à son mari ce couple de leur âge, où la femme, à la chevelure blonde, portait une minijupe en cuir noir et un bustier de même matière doù débordaient ses gros nichons, tandis que son mari retroussait sa jupe et la caressait alors que de toute évidence elle navait pas de culotte. Enfin, elle reparle à plusieurs reprises dans la soirée du chippendale, toujours en plaisantant sur la taille du sexe, la jeunesse ou la musculature du mec, elle dit aussi à son mari qu'il était beau. Hervé lui demande plus sérieusement si elle a ressenti de lexcitation en le voyant, elle soutient que non tout en rougissant.
Hervé profite de ses confidences pour la caresser et, à sa grande surprise, cest elle qui demande à essayer le gode. Il ne sait pas si c'est le symbole de l'objet ou les vibrations, mais elle réagit bien, car elle est très mouillée et là, il lui demande si elle se caresse parfois ? Elle nie, mais Hervé lui demande avec insistance de se caresser. Elle ne le fait pas très longtemps, un peu coincée, se touchant à peine avec ses doigts. Soudain, elle lui enlève le gode des mains et se lapplique sur le clitoris puis, sans hésiter, elle se lenfonce dans le vagin, lagitant fébrilement au plus profond de sa matrice. Hervé est au bord de lapoplexie, car il voit sa femme se gamahucher comme une folle, lorsque celle-ci, telle une furie le supplie de la prendre
À suivre
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